Aymeric Carrez parle devant des gens assis, alors que lui, reste debout.
Ce décalage de position entre le comédien et le public peut s'avérer -au départ- assez déstabilisant. Néanmoins le théâtre disposant d'une assise relativement confortable, le malaise se résorbe rapidement ; et le public ressort de cette expérience ravi, quoiqu'un peu décontenancé par le particularisme de ce cérémonial si peu ordinaire.